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Puteaux pendant la guerre de 1870 et la Commune de Paris

A l’occasion du 150e anniversaire de la fin de la guerre de 1870 et de la Commune de Paris, (re)découvrez l’histoire de Puteaux pendant ces événements historiques.

La Guerre de 1870

À la fin des années 1860, la Prusse (territoire correspondant aujourd’hui à peu près à l’Allemagne, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie) devient une grande puissance européenne sous la gouvernance du chancelier Otto von Bismarck. La France, alors sous un régime impérial avec Napoléon III, l’affronte sur le terrain de la diplomatie. A l’été 1870, un candidat prussien se présente au trône espagnol, menaçant la France d’être encerclée par la Prusse. Sous les protestations de la France, le Kaiser Guillaume Ier promet de retirer son candidat. Mais cela ne suffit pas pour Napoléon III qui envoie un ambassadeur réclamer une promesse écrite, refusée par le Kaiser. Bismarck profite de l’entrevue pour rédiger une dépêche trompeuse dans laquelle la France paraît avoir été insultée et humiliée. Le 19 juillet, l’Empire français déclare la guerre à la Prusse. Mais l’armée française est très vite dépassée par l’avancée des troupes adverses. Les défaites s’enchaînent. La bataille de Sedan se solde sur la capture de Napoléon III le 2 septembre. La France, très vite déclarée République, ne capitule cependant pas. Le 19 septembre, l’ennemi commence le siège de Paris. Pendant près de cinq mois, Paris et les populations de la banlieue proche subissent bombardements et attaques, mais surtout le rationnement puis la famine, les maladies et le froid. Finalement, le 28 janvier 1871, après l’échec d’une dernière sortie militaire, Paris capitule et l’armistice est signé.

Quelques dates

  • 19 juillet 1870 : déclaration de la guerre à la Prusse
  • 2 septembre 1870 : capitulation de Sedan
  • 4 septembre 1870 : proclamation de la IIIe République
  • 19 septembre 1870 : début du siège de Paris
  • 28 janvier 1871 : signature de l’armistice et capitulation de Paris

Puteaux pendant le siège de Paris

La garde nationale et l’armement de la ville

Lorsqu’il semble évident que l’armée française ne peut pas retenir l’armée prussienne, Puteaux s’organise pour participer à la défense du pays. La garde nationale retient en particulier l’attention. Celle-ci est organisée en différents bataillons de 1 500 hommes maximum, composés de contingents. Les villes de Puteaux, Nanterre et Suresnes forment le 37e bataillon. Début septembre, la Préfecture demande que les gardes nationaux soient armés, notamment les nouveaux inscrits. Or, l’effectif du 37e bataillon est monté à 2 500 hommes, soit 1 000 de plus que l’effectif maximum ! L’état-major refuse les armes au surplus d’hommes tant qu’un deuxième bataillon n’est pas constitué [1]. Mais s’il y a trop d’hommes pour un bataillon, il n’y en a pas assez pour deux… Une commission du conseil municipal, constitué notamment du conseiller municipal et futur maire Roque de Fillol, se rend donc à Paris pour négocier des armes. Sur les 700 baïonnettes voulues en sont accordées 400. Roque de Fillol parvient quelques jours plus tard à recevoir les 300 baïonnettes manquantes [2].

Soldats et pièces d’artillerie durant le siège de Paris, photographie anonyme, vers 1871, Paris, Musée Carnavalet.

Le conseil municipal vote également la construction d’un canon pour participer à la défense de Paris en octobre 1870, et qui resterait à Puteaux après la guerre [3]. La somme, élevée, puise fortement dans les ressources de la ville. Est proposé que soit inscrit sur le canon : « La Commune de Puteaux à la République française ». Quant à savoir s’il a bien été fait, les archives ne le disent pas. Il est également question de donner les cloches de l’église à l’État pour la construction de canons [4], bien qu’il semble que cet acte n’ait jamais été réalisé.

À l’approche des troupes prussiennes de la capitale à la mi-septembre, l’ordre est donné d’évacuer la population de la banlieue proche derrière les remparts de Paris. À Puteaux, l’évacuation a lieu le 20 septembre 1870 [5], c’est-à-dire au lendemain du début du siège. Des charriots et des chevaux ont été réquisitionnés pour le transport des familles [6]. Toute la ville ne quitte cependant pas le territoire. Le conseil municipal estime qu’environ 10 000 Putéoliens et Putéoliennes se réfugient à Paris [7]. Le nombre est peut-être un peu exagéré car la population compte à l’époque un peu plus de 9 500 habitant-es. Un mois plus tard, un recensement permet de savoir que 859 personnes sont encore à Puteaux, dont 231 enfants [8]. Paris, ou plus précisément le 8e arrondissement, met à disposition des logements vacants, ainsi que des salles de classe pour donner cours [9].

Le ravitaillement

Le conseil municipal quitte également Puteaux pour s’installer dans un local prêté par Paris, au 195 rue du Faubourg Saint-Honoré, dans le 8e arrondissement [10]. La majorité des décisions concerne le problème du ravitaillement. Puteaux est alors une ville essentiellement ouvrière. L’arrêt des usines et des ateliers met de nombreuses familles dans le plus grand dénuement. Dès le début du mois d’octobre sont distribués du pain et de l’argent [11]. La situation se dégrade à mesure que le siège dure. Paris et toutes les communes réfugiées dans ses murs ont du mal à se nourrir. La viande se fait de plus en plus rare, on finit par manger du rat, du chat, et mêmes les animaux du jardin des Plantes comme les éléphants Castor et Pollux. Les ressources de Puteaux sont très vite insuffisantes [12]. Le don de 1 000 francs de Richard Wallace en décembre [13] permet de sortir un peu la tête de l’eau.

Roque de Fillol, portrait par
Auguste Durst, 1881, AMP, 13Z2.

Le conseil municipal

Lorsqu’il ne s’occupe pas du ravitaillement, le conseil municipal refait le monde. Est émis le vœu d’une séparation complète de l’Église et de l’État [14], d’une instruction obligatoire, gratuite, laïque et civique [15], ou encore de l’inscription « Liberté, égalité, fraternité » sur les bâtiments publics de la ville [16], et de l’abolition du célibat des prêtres [17]. La situation, très compliquée, amène cependant des conflits au sein du conseil. Le 13 janvier 1871, le conseiller Roque de Fillol demande une démission collective pour cause d’actions insuffisantes [18]. Le maire Hyacinthe Blanche démissionne. De nouvelles élections ont lieu le 31 janvier au sein du conseil pour élire un nouveau maire et ses adjoints. Roque de Fillol remporte les suffrages [19].

La population restée à Puteaux

Même si une majorité de la population quitte Puteaux, près de 800 personnes restent en ville. Parmi elles, Caroline Godefroy, veuve de l’ancien maire Léon Godefroy, qui commence la rédaction d’un journal le 1er novembre 1870. Ce journal nous en apprend beaucoup sur la vie à Puteaux à cette époque. Bien que Mme Godefroy soit une femme aisée, elle souffre elle aussi des restrictions, et notamment de la faim. Le prix des denrées augmente très vite. La viande se fait de plus en plus rare. Les habitants de Puteaux tuent les chiens et les chevaux pour les manger. Il leur faut également un permis pour pêcher dans la Seine [20]. L’hiver très froid rend les conditions encore plus compliquées. Mme Godefroy rapporte que le pain est noir et indigeste [21]. Il est rationné à 300 grammes par personne et distribué par le boulanger sur présentation d’une carte de pain à aller chercher en mairie [22]. La ville entend des coups de canons plus ou moins proches [23], mais il ne semble pas qu’elle ait subi pendant le siège de dégâts matériels. En revanche, des soldats et des civils pillent les propriétés publiques comme privées laissées vacantes [24].

Bateau-lavoir pris dans la glace, quai de Seine de Puteaux, février 1871, AMP, non coté.

La Commune de Paris

La capitulation de Paris et la signature de l’armistice le 28 janvier 1871 sont vues comme une humiliation et une trahison par la population parisienne. De plus, la suppression de la solde des gardes nationaux et du moratoire sur les loyers, le défilé des armées prussiennes et l’installation de l’Assemblée nationale à Versailles font monter la contestation. Le gouvernement, dirigé par Adolphe Tiers, tente de garder le contrôle et surtout de récupérer les armes encore présentes dans la capitale. Au matin du 18 mars, des soldats montent sur la butte Montmartre où sont entreposés 227 canons. La foule leur est hostile et devient menaçante. Un général ordonne d’ouvrir le feu mais les soldats refusent et fraternisent. C’est le début de l’insurrection parisienne. Thiers part à Versailles. Des élections municipales sont organisées et le 29 mars est proclamé le Manifeste de la Commune de Paris. Sont mises en place des mesures politiques et sociales : école gratuite, séparation de l’Église et de l’État, organisation des ateliers en coopératives ouvrières, etc. Une lutte s’engage contre Versailles. Paris tente plusieurs sorties militaires. Les deux camps prennent des otages. Versailles obtient vite l’avantage. Elle entre dans Paris le 21 mai et reprend la ville en une semaine. La répression est terrible, c’est la « Semaine sanglante ». Les Fédéré-es sont massacré-es, tandis qu’en représailles Paris exécute ses otages. Il y aurait eu environ 10 000 victimes. Les arrestations sont ensuite nombreuses et beaucoup sont condamné-es aux travaux forcés à perpétuité.

Les grandes dates

  • 19 février 1871 : nomination d’Adolphe Thiers comme chef de l’exécutif
  • 1er mars 1871 : entrée de l’armée prussienne dans Paris
  • 18 mars 1871 : soulèvement à la butte Montmartre et début de la Commune de Paris
  • 28 mars 1871 : proclamation du Conseil de la Commune
  • 10 mai 1871 : traité de Francfort et perte de l’Alsace et de la Lorraine
  • 16 mai 1871 : démolition de la colonne Vendôme
  • 21-28 mai 1871 : « Semaine sanglante », fin de la Commune de Paris
  • 31 août 1871 : élection d’Adolphe Thiers comme Président de la République
Michel Charles Fichot, La lutte entre les troupes régulières et les Fédérés à l’ouest de Paris, dessin, 1871, Paris, Musée Carnavalet.

Puteaux pendant la Commune de Paris

La capitulation de Paris et la fin du siège le 28 janvier 1871 ne signifient pas la fin des restrictions et des difficultés pour Puteaux.

L’appauvrissement de la municipalité

Le conseil municipal reste à Paris encore plusieurs semaines. La première séance dans les locaux de la mairie de Puteaux a lieu le 18 mars 1871 [25], c’est-à-dire, hasard de calendrier, le jour du début de la Commune de Paris. Roque de Fillol, maire depuis le 31 janvier, a pour charge de continuer le ravitaillement de la population et d’aider à sortir de la misère. Sa tâche n’est pas aisée face aux événements de la capitale mais surtout face aux faibles ressources de la ville. Malgré le vote du budget pour l’année 1871, la municipalité n’a pas assez de fonds pour venir en aide à la population. La ville demande une subvention au département à hauteur de 10 000 francs [26]. Elle reçoit également des dons privés : 1 000 francs à nouveau de Richard Wallace pour les familles dans le besoin [27], et 15 000 francs de la Société anglaise des amis pour aider à la reprise de l’industrie, du commerce et de l’artisanat [28].

Le ravitaillement

L’État s’organise pour ravitailler la population. La capitale, bien sûr, reçoit de l’aide, mais également les communes aux alentours. C’est ainsi que le ministère de l’agriculture met à disposition 91 kilos de chocolat pour la ville ! La douceur est distribuée en priorité aux vieillards, aux malades, aux femmes allaitantes et aux enfants en bas âge [29]. La ville continue de distribuer du pain comme elle le faisait pendant le siège. Elle réquisitionne notamment un dépôt abandonné, utilise les dons privés de la Société anglaise des amis, réorganise ses différentes ressources [30]. Sa priorité est de « combattre le fléau croissant de la misère » [31].

Le retour de la population à Puteaux

Un appel est donné par la mairie en mars pour faire revenir la population à Puteaux [32]. La vie normale semble reprendre peu à peu. Les écoles rouvrent au début du printemps ; le marché est déplacé à la place de la Croix (aujourd’hui place Simone Veil) ; des bureaux d’omnibus s’installent le long de l’avenue Saint-Germain (avenue de La Défense) [33]. Le travail, cependant, fait encore défaut. Si Mme Godefroy réussit à faire à nouveau fonctionner son entreprise de teinturerie [34], de nombreuses industries et ateliers peinent à donner de l’emploi. Pour y remédier, la ville ouvre un crédit pour des travaux de voirie, ce qui permet d’embaucher des ouvriers [35].

A. Bès et F. Dubreuil, Combat du Pont de Neuilly (2 avril), lithographie coloriée et rehaussée de vernis, Paris, musée Carnavalet.

Des liens politiques entre la Commune de Paris et Puteaux ?

Éclat d’obus, 1871, AMP, 12Z13.
Inscription : “Obus tombé au coin de la rue des Pavillons, l’éclat a bien abimé la boutique le 14 avril 1871 à 3 heures du soir.”

Le conseil municipal de Puteaux a, pendant le siège, émis des vœux proches des idéaux de la Commune de Paris. Cependant, par la voix du maire Roque de Fillol, il déclare en avril que « l’administration est complètement indépendante et qu’elle n’a contracté aucun lien, pas plus vis-à-vis de Versailles que du côté de Paris » [36]. Il ajoute ensuite qu’il suit les ordres de Versailles, notamment sur une réquisition des armes de la population « sous le coup d’une menace d’arrestation immédiate suivie de perquisitions à domicile ». La ville de Puteaux est coincée entre ses idéaux manifestement proches de ceux de la Commune, l’autorité de Versailles et les nécessités impérieuses de lutte contre la misère.

Puteaux entre deux feux

La localisation de Puteaux place la ville entre deux feux : l’armée versaillaise et l’armée parisienne. Le pont de Neuilly est un passage stratégique pour entrer et sortir de la capitale ; la route de Saint-Germain (aujourd’hui l’avenue de La Défense) et le rond-point de Courbevoie (aujourd’hui de La Défense) le sont pour rejoindre Versailles. Plusieurs combats ont donc lieu à proximité. La ville se trouve également à quelques kilomètres à peine du Mont-Valérien. Au début neutre vis-à-vis du conflit, le fort se range vite du côté des Versaillais, prenant les Fédéré-es de surprise [37]. S’engage alors une lutte entre le Mont et la capitale à coups de canons. Mais si les obus versaillais, du fait de la hauteur de tir depuis le fort, parviennent à toucher Paris, les obus fédérés peinent à atteindre leur cible et tombent souvent sur Puteaux. Par exemple, le 14 avril 1871, vers 15h, un obus éclate au coin de la rue des Pavillons [38]. Le maire Roque de Fillol demande à la Commune de réduire les bombardements, ce qu’elle promet de faire [39].

L’arrestation du maire de Puteaux

La position de Puteaux et les idéaux revendiqués par plusieurs personnalités du conseil, notamment le maire Roque de Fillol, place ce dernier dans une situation délicate. Le 30 avril 1871, c’est-à-dire près d’un mois avant la fin de la Commune de Paris, le maire de Puteaux est arrêté par l’autorité versaillaise. Le conseil municipal écrit alors au Préfet pour demander des explications [40]. Roque de Fillol est jugé devant le conseil de guerre de Versailles en août. Les accusations sont multiples : « offense envers le chef du pouvoir exécutif », « attentat ayant pour but de changer ou de détruire le gouvernement », « excitation à la guerre civile », « distribution d’armes et de munitions de guerre sans autorisation du pouvoir légitime » et « embauchage de militaire » [41]. Les témoins à charge sont multiples, dont un ancien secrétaire de la mairie. Roque de Fillol est finalement condamné aux travaux forcés à perpétuité le 13 août 1871. Il est envoyé à la prison Saint-Pierre du quartier Satory à Versailles, avant un départ pour Toulon et enfin la Nouvelle-Calédonie [42]. Il est amnistié quelques années plus tard et revient à Puteaux.

Pour aller plus loin

Nos articles

  • Les personnages emblématiques : MM. Blanche et Roque de Fillol, Mme Godefroy et Sir Wallace ont marqué leur époque et la vie à Puteaux
  • La statue de La Défense de Paris : Monument construit en hommage aux soldats et à la population du siège de Paris, la statue a donné son nom à tout un quartier, connu dans le monde entier.

Quelques expositions et documents en ligne


[1] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 10 septembre 1870, AMP, 1D1/10.

[2] Délibérations du conseil municipal de Puteaux des 11 et 13 septembre 1870, AMP, 1D1/10.

[3] Délibérations du conseil municipal de Puteaux des 19 et 21 octobre 1870, AMP, 1D1/10.

[4] Délibérations du conseil municipal de Puteaux du 13 octobre 1870, AMP, 1D1/10.

[5] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 11 octobre 1870, AMP, 1D1/10.

[6] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 22 septembre 1870, AMP, 1D1/10.

[7] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 24 septembre 1870, AMP, 1D1/10.

[8] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 15 octobre 1870, AMP, 1D1/10.

[9] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 30 septembre 1870, AMP, 1D1/10.

[10] Délibérations du conseil municipal de Puteaux du 19 et 22 septembre 1870, AMP, 1D1/10.

[11] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 09 octobre 1870, AMP, 1D1/10.

[12] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 10 décembre 1870, AMP, 1D1/10.

[13] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 20 décembre 1870, AMP, 1D1/10.

[14] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 03 octobre 1870, AMP, 1D1/10.

[15] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 15 octobre 1870, AMP, 1D1/10.

[16] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 21 octobre 1870, AMP, 1D1/10.

[17] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 23 octobre 1870, AMP, 1D1/10.

[18] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 13 janvier 1871, AMP, 1D1/11.

[19] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 31 janvier 1871, AMP, 1D1/11.

[20] Journal de Caroline Godefroy, 28 novembre 1870, AMP, non coté.

[21] Journal de Caroline Godefroy, 13-16 janvier 1870, AMP, non coté.

[22] Journal de Caroline Godefroy, 21 janvier 1870, AMP, non coté.

[23] Journal de Caroline Godefroy, notamment les journées du mois de novembre, 1er et 27 décembre 1870, AMP, non coté.

[24] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 03 octobre 1870, AMP, 1D1/10.

[25] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 18 mars 1871, AMP, 1D1/11.

[26] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 04 février 1871, AMP, 1D1/11.

[27] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 21 février 1871, AMP, 1D1/11.

[28] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 18 mars 1871, AMP, 1D1/11.

[29] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 21 février 1871, AMP, 1D1/11.

[30] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 12 avril 1871, AMP, 1D1/11.

[31] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 12 avril 1871, AMP, 1D1/11.

[32] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 18 mars 1871, AMP, 1D1/11.

[33] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 18 mars 1871, AMP, 1D1/11.

[34] Journal de Caroline Godefroy, 18 mars 1871, AMP, non coté.

[35] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 28 mai 1871, AMP, 1D1/11.

[36] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 12 avril 1871, AMP, 1D1/11.

[37] Robert Cornouille, Le Mont-Valérien pendant la Commune de Paris, http://histoire-nanterre.org/wp-content/uploads/2013/08/NI_SHN_358.pdf

[38] Éclat d’obus sous cadre d’avril 1871, AMP, 12Z13.

[39] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 24 avril 1871, AMP, 1D1/11.

[40] Délibération du conseil municipal de Puteaux du 2 mai 1871, AMP, 1D1/11.

[41] Le Petit Journal, 10 août 1871 (voir l’article en ligne).

[42] Le Petit Journal, 14 août 1871 (voir l’article en ligne).

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